Faire face jusqu'à 50

Le défi

Margaret (nom fictif) était responsable des rémunérations et des avantages sociaux dans une grande entreprise internationale. Elle approchait de son 50e anniversaire lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois et traversait une crise de confiance quant à la valeur qu'elle percevait dans l'entreprise. Elle craignait que sa carrière ne s'arrête à l'âge de 50 ans. Elle avait également deux fils adolescents et un mari qui avait du mal à supporter ses fréquents voyages d'affaires qui lui laissaient la responsabilité de la maison familiale.

L'effet

Les loyautés de Margaret étaient conflictuelles et elle commençait à se sentir très stressée. Elle aimait son travail et appréciait la possibilité de voyager dans d'autres pays et de découvrir comment les principes fondamentaux de l'entreprise étaient appliqués dans différentes cultures. En même temps, elle savait qu'elle manquait à sa famille lorsqu'elle s'absentait et craignait que cela ne fasse peser une responsabilité injuste sur son mari. Elle voulait être présente pour sa famille, mais aussi continuer à développer sa carrière. Sa plus grande crainte était que si elle réduisait ses activités d'une manière ou d'une autre, elle serait considérée comme "dépassée" par ses jeunes collègues.

Solution

Nous avons travaillé dans le cadre d'un programme axé sur les valeurs personnelles de Margaret en matière de travail et de vie familiale. Au cours de plusieurs séances, nous avons exploré ce qui était vraiment important pour elle et les raisons pour lesquelles chacun de ces éléments comptait pour elle. Nous avons ensuite vérifié si ses valeurs s'accordaient bien entre elles et recherché les conflits entre le travail et la vie de famille qui s'exprimaient dans ses valeurs. En identifiant et en résolvant les conflits dans ses valeurs, elle a pu créer un plan cohérent pour l'avenir et cesser de s'inquiéter.

Résultat

Elle est restée cliente longtemps après la fin de son coaching personnel, parce que la nature confidentielle de son travail signifiait qu'elle manquait d'un groupe de pairs avec qui faire rebondir ses idées et qu'un coach était la personne idéale pour combler cette lacune. Elle a finalement rejoint une autre entreprise du même secteur en tant que directrice des ressources humaines et, lorsque sa nouvelle entreprise a racheté l'ancienne, elle est devenue directrice des ressources humaines du groupe fusionné